domingo, 26 de diciembre de 2010

Arañas

Arañas entretejen nuestros hilos de vida,
los juntan y separan una y otra vez.
¿quien cae en la red?
inocentes moscas que estrellan el techo raso
como pequeñas estrellas negras de muerte
¿curioso no lo crees?
cada una, nuestro alimento; cada una, una muerte.

No Psicosocioletanía

en mis manos anochecen las lechosas lagrimas saladas de las madres de los placeres carnales del alma
mis uñas repletas de mugre responden las dudas que surgen de pronto, por ahi, por bocas malintencionadas sin embargo muy acertadas.
mis ojos miran el enojo de una tierra imperfecta, atrasada, medieval, destructora y restrictiva donde los santos son santos y los demonios no tanto, donde el geranio es geranio, y el rosario es sagrado.
Cuánta maldad hay en los actos puros y de buena fe, No lo entiendo
Bajo mis pies, hay un suelo delgado que tiembla por todas esas cosas que hago, que pienso, que digo, que siento, ¡qué lamento!
en mis oídos hay palabras ajenas, quejas, dramas y traumas deseosos de penetrarme y atarme a sus teorías estupidizadoras desterrando mi ideas ciertas o inciertas, falsas o verdaderas, mías aún.

martes, 30 de noviembre de 2010

Quimeras

Vuelvo a las andadas. Estelas de nombres y momentos dejan mi barca sobre este mar de lágrimas de aguas dulces y saladas. Mi mirada se pierde en el rojizo horizonte de un atardecer perpetuo, siempre moribundo, lleno de esta media vida. Me pregunto si algún día, algún día anocheceré…

Las estrellas, como luciérnagas, juegan en el nigérrimo cielo que dejo atrás. Ay atrás… ¡cuánto dejo!: palabras, silencio, sonrisas, quebranto, mentiras, verdad… todo guardado en una maleta en un agujero negro supermasivo de recuerdos que ha devorado a todos los demás menos a mí. Huyo de ser devorado por la monstruosidad quien ya me ha quitado vidas, y ganado cada guerra y batalla.

Navego sobre un mar de celeste nostalgia bajo un cielo negro de reminiscencia comprimida, hacia horizontes de mañanas y tierras nuevas. Allí termina mi viaje lejos de las quimeras del pasado...

Destierro

¿Adónde te llevo ahora? Algún lugar entre recuerdos, entre sombras y luciérnagas, en cunas de nuevos amaneceres donde mi palabra nunca sonó y en tierras que mis pies nunca han tocado.
¿Adónde te llevo ahora? Algún lugar donde tu cuerpo no se manche con mis pecados del pasado, alguna cama que antes no haya profanado, allí entre los lirios y tulipanes, algún lugar entre el cielo y la tierra, algún lugar… ¿dónde? …¡¿Dónde?!
Toco tu piel tan distinta a la mía y desparece la vergüenza y desdicha de no ser digno de ti. Tu inmaculada hermosura es redimidora, soy pues bajo tu sombra hombre nuevo. Yo , el más impuro de los seres del abismo, vuelvo a tener alma; tú, mi alma…

viernes, 15 de octubre de 2010

La Question à un Million

« Qui est-ce que je suis ? » Je demande toujours au miroir et la réponse est encore la même, silence. J’ai pas l’amnésie mais quelque fois le temps me fait sentir comme si j’avais oublié une partie de moi; une partie petite, pourtant significative. Le monde tourne sans arrêter et tout le monde change, moi aussi; est-ce que quelque chose ne sera pas perdue à cause de beaucoup de tours et changements ? Certainement, je ne suis pas la même personne qu’il y a une minute... ou oui? Mais « qui est-ce que je suis ? » la question bat dans ma tête plus vivante que mon cœur dans ma poitrine. Si quelqu’un me demandait qui je suis, je répondrais « mon prénom » mais j’aurais dit la vérité. Est-ce que je suis un mot? Je crois qu’il serait plus facile si la question avait été « qui est-ce que je ne suis pas ? ». Bien sûr, ce que je suis, mon essence, dépasse des mots et reste en la représentation de ma pensée, mon âme.

Mais « qui est-ce que je suis ? » la question à un million d’euros. Sans doute, je suis un homme, mais je ne dis ça seulement parce que j’ai tout ce que chaque homme a (un gros ego) sino parce que je me mets ces questions sans fin, lesquelles, je crois, ont été nos premières compagnonnes depuis la création du monde. J’imagine que nos aïeux, quand ils regardaient autour et voyaient le ciel étoilé, la forêt verte, les ombres sur les murs des cavernes, se sont demandé le même. Alors, cela me fait penser : est-ce qu’il y a quelqu’un qui aurait trouvé la réponse ? Oui, bien sûr, chaque homme, de différentes façons.

Enfin, après de toute cette introspection, « qui est-ce que je suis à la fin ? ». La réponse devient plus complexe et les mots ne m’aident pas. Peut-être, je suis un peu de tout ; un peu de silence, quelques mots, petite parties perdues, tours et changements, pensée ou âme, et un ombre sur le mur; Je ne sais pas, ou peut-être je ne suis qu’un homme.

miércoles, 13 de octubre de 2010

La Pregunta del Millón

"¿Quién soy? ", Siempre le pregunto al espejo y la respuesta es la misma, silencio. No tengo amnesia, pero a veces, el tiempo me hace sentir como si hubiera perdido una parte de mí, una parte pequeña pero significativa. El mundo gira sin parar y todos cambian, yo también. Sin embargo, ¿algo no se perderá por tantos giros y cambios? Ciertamente, no soy la misma persona de hace un minuto... ¿o sí? Pero "¿quién soy? " La pregunta está ahí latente en mi cabeza aun más que el corazón en mi pecho. Si alguien me preguntara quién soy, diría " mi nombre ", pero le habría dicho la verdad. ¿Soy una palabra? Creo que sería más fácil si la pregunta hubiera sido "¿Quién no soy? " . Por supuesto, lo que soy, mi esencia, va más allá de las palabras y se encuentra en la representación de mis pensamientos, mi alma.

Pero "¿Quiénsoy yo? ", la pregunta del millón de Soles. Sin duda, soy un hombre, pero no lo digo sólo porque tengo todo lo que todo hombre posee (un gran ego), sino porque me planteo estas preguntas sin fin, las cuales, creo, fueron nuestros primeras compañeras desde los inicios de la creación. Imagino que nuestros antepasados, cuando miraban a sus alrededores y veían el cielo estrellado, el bosque verde, las sombras en las paredes de la cueva, se preguntaba lo mismo que yo. ahora, esto me hace pensar: ¿Hay alguien que haya encontrado la respuesta? Sí, por supuesto, cada uno de diferentes maneras.

Por último, después de todo esta introspección " ¿Quién soy finalmente? ". La respuesta se hace más compleja y las palabras no me ayudan. Tal vez estoy un poco de todo, un poco de silencio, unas pocas palabras, pequeñas piezas perdidas, los giros y cambios, el pensamiento o el alma, y la sombra en la pared, no sé, o tal vez yo sólo soy un simple hombre.

martes, 28 de septiembre de 2010

La Maison Dans L'arbre

Quand j’étais un petit enfant, je rêvais d’habiter dans l’arbre de chez moi. Il était planté dans le jardin. Vraiment, je ne rappelle pas quel sort d’arbre était-il mais je rappelle bien ses feuilles vertes, et ses branches fortes. J’avais vu plusieurs fois dans la télé ces petites maisons à bois dans les arbres, où on pouvait se cacher de tout – j’aimais me cacher - et où on pouvait organiser des réunions clandestines avec les copains, alors j’ai essayé de faire une.
J’ai lui dit à mon papa qu’il m’a aidé à construire la maison dans l’arbre, mais il ne pouvait pas parce qu’il était trop occupé avec le travail, en plus qu’il pensait que ce n’était pas une bonne idée, et bien qu’il m’a interdit de continuer avec mon petit projet, je ne pouvais pas sortir l’idée de ma tête.
Puisque cela ne le plaisait pas à mon père, j’ai décidé de demander à mon grand-père. Pourtant la réponse a été la même, mais, cette fois, elle est venue avec les hurlements de papi. J’écoute ses paroles encore : « Arrête là, arrête là… Qu’est-ce que tu veux faire ? … Tu es fou ? Qu’est-ce que tu as dans la tête ? … Merde ? ». Ö mon grand-père, il me manque beaucoup.
Je n’avais pas l’autorisation de mon père ni de mon grand-père, mais ils n’étaient pas la cour supérieur de chez moi. Il y avait quelqu’un plus avec qui je pouvais parler. J’ai attendu éveillé, évidemment, avant son arrive du travail, j’avais fait tous mes devoirs, j’avais pris un bain, je m’étais lavé les dents deux fois, et j’avais balayé la salle enfin tout ce qu’un bon garçon fait. Maman est arrivée presque à 12:00h. et, je l’ai reçue avec un gros bisou. Ma mère m’a regardé et Immédiatement ma mère a su que je voulais quelque chose. Elle m’a demandé : « qu’est-ce que tu veux ? » j’ai répondu rapidement : « une maison dans l’arbre » elle a rigolé fortement et elle m’a dit : « ah mon petit, je suis ta mère et je te connais parfaitement, tu devrais me connaitre aussi… tu sais que c’est fou… non… ». En pleurant, je suis monté l’escalier et allé à mon chambre.
Quelques semaines plus tard, un dimanche avec le soleil, mes parents sont allés avec mes grand parents. Ma tante est restée avec moi à la maison. J’avais recueilli du bois sans que mes parents l’aient noté. Alors, aucun ne me poudrais arrêter de faire ma précieuse maison dans l’arbre. Je montais l’arbre quand j’ai vu un gros ver avec une verdure repoussante dans une des branches. Je suis tombé de l’arbre à cause de la peur.
À partir de ce jour, je n’ai plus aimé les maisons dans les arbres ni les arbres même, surtout, s’ils sont vert.